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Les pathologies de la base du crâne : une expertise reconnue de la Clinique de l’Union

 

Le Dr Martin Dupuy est neurochirurgien, spécialisé dans la base du crâne. Installé à la Clinique de l’Union depuis 2015, il revient sur le département de prise en charge des pathologies de la base du crâne, une structure unique parmi les établissements de santé privés de France.

Une expertise à chaque maillon de la chaîne

 

Le cerveau, protégé par la voûte crânienne, repose sur un plancher osseux, la base du crâne. Celui-ci est perforé à plusieurs endroits pour laisser passer des éléments neurologiques qui vont transmettre des informations du cerveau aux différentes parties du corps.

« Voilà le théâtre de nos actions, expose le Dr Dupuy. La base du crâne est relativement difficile d’accès. Habituellement, ce type de prise en charge est plutôt réservé aux hôpitaux universitaires. À la Clinique de l’Union, nous avons la chance de pouvoir proposer cette gamme de soins qui est historique et qui s’inscrit dans l’ADN de l’établissement. »

La base du crâne est une zone « frontière » où interviennent plusieurs spécialistes, dont les médecins oto-rhino-laryngologistes, les ophtalmologistes, les endocrinologues, les chirurgiens maxillo-faciaux, les oncologues, les neurochirurgiens, les radiologues ainsi que les anatomopathologistes.

 » Chaque maillon de la chaîne, du diagnostic au traitement, est composé d’un spécialiste référent dans son domaine effectuant des expertises très pointues. C’est ce qui fait notre force.  »

 

Un plateau technique de pointe

 

La réputation d’excellence que s’est forgée le département repose aussi sur un plateau technique rassemblant les dernières innovations technologiques. En outre, toutes les pathologies de la base du crâne peuvent être prises en charge au sein du département : tumeurs bénignes, cancers, pathologies hypophysaires ou traumatiques.

« Nous proposons aussi de la radiochirurgie, une technique qui permet de délivrer des doses de rayons avec une précision chirurgicale. Très peu de centres maîtrisent cette technique et possèdent la machine qui permet de la pratiquer », avance le Dr Dupuy. Pour la première fois en France, un partenariat public-privé a été scellé avec le CHU de Toulouse autour de cette prise en charge.

Au-delà de la prise en charge des patients, le département contribue également à des activités de recherche et d’enseignement.